Jake Mayfield.
Identité
Prénom, Nom Jake Mayfield.
Âge 29 ans
Date/lieu de naissance 7 mai 1992 à Galway en Irlande
Job/$$$ Libraire, propriètaire et gérant de sa propre librairie qu'il vient d'ouvrir au nom de Words Beyond. Sa librairie est spécialisée surtout dans les mangas mais on y trouve quand même un peu de tout
Statut civil/orientation Pére célibataire
A Londres depuis Deux ans et demi
Caractères Impulsif • Timide • Gourmand • Maladroit • Procrastinateur
Personnage inventé Une histoire
✱ Jake est papa d'une petite puce de presque trois ans qu'il aime plus que tout répondant au doux prénom d'Hanae, qui signifie fleur en japonais. Son deuxième prénom est Juliet en souvenir de la soeur jumelle de Jake morte il y'a un peu plus de dix ans
✱ Il a un tatouage dans le dos discret avec la première lettre du prénom de sa sœur + une fleur sur l'avant bras en rapport avec sa fille, c'est même elle qui à choisit le motif
✱ Il peut engloutir des tonnes de nourriture sans jamais prendre un gramme. D'ailleurs, il adore la pizza et ne peut se nourrir que de ça pendant une semaine entière
✱ Il est bénévole dans diverses associations caritatives pour lesquels il n'hésite pas à donner de son temps et de son argent
✱ Il n'est pas vraiment du genre fêtard mais n'est jamais le dernier pour s'amuser
✱ Il joue aussi très bien de la guitare et pousse la chansonnette. Il à composé quelques morceaux qu'il ne garde que pour lui
✱ Passionné par le Japon, sa culture et tout ce qui s'y rapporte, il rêve un jour d'aller visiter ce pays
✱ Il s'est mis depuis quelques semaines à dessiner les planches d'un mangas mais évidemment, il garde ça pour lui ayant très peu confiance en lui et en son talent pour le dessin.
✱ Il s'interdit de retomber amoureux pour ne plus souffrir comme ce fut le cas avec Alice, la mère de sa fille.
✱ Sa fille est la raison pour laquelle il arrive encore à se lever le matin.✱✱✱✱✱✱✱✱✱
Voilà déjà vingt neuf ans que je suis sur cette terre. Le temps passe à une vitesse folle. Vingt cinq ans déjà. Certes, ce n'est rien mais en ce quart de siècle j'ai vécu beaucoup de choses. Des choses que je n'aurais jamais dû vivre. Je vais vous raconter.
Mes parents Elena et John se sont rencontrés à Galway en irlande lorsqu'ils avaient dix sept ans. Mon père était venu en vacances ici avec sa famille. Dés qu'ils se sont vus, ils sont tout de suite tombés très amoureux l'un de l'autre et sont vite devenus inséparables. La fin des vacances n'a rien changé à cet amour. Ils ont réussi à tenir le coup malgré la distance. Mes parents vivaient à l'époque tous les deux à des milliers de kilomètres l'un de l'autre puisque ma mère vivait à Galway et mon père, lui, vivait en Amérique.. Dés qu'ils ont pu, ils ont emménagé ensemble et ce sont mariés. C'est le soir de leur nuit de noces que j'ai été conçu. Mignon n'est ce pas ? Neuf mois plus tard j'ai pointé le bout de mon nez alors que le soleil commençait tout juste à se coucher. Mais ce jour là je n'étais pas seul. Ma sœur jumelle Juliet à pointé le sien cinq minutes après moi. Deux pour le prix d'un. Mes parents n'avaient pas vraiment réussi à se faire à l'idée mais ils étaient tout de même aux anges.
Tout se passait bien dans le meilleur des monde. Nous étions deux enfants adorables et bien élevés. Nous avions deux caractères très différents. Moi j'étais calme et posé et Juliet, c'était le petit bolide de la famille toujours à courir partout et à affirmer son caractère bien trempé. Différents oui mais cela ne nous empêchait pas d'être très fusionnel et surtout inséparables. La vie suivait son cours puis vint l'adolescence. Pendant que Juliet enchaînait les histoires d'amour plutôt douteuses, moi je préférait bosser et me concentrer sur les études. Un truc que je tiens probablement de mon père. Nous étions une famille heureuse et très soudée. Mais malheureusement, c'est quand tout va bien qu'un malheur finit toujours par arriver. Je m'en souviens comme si c'était hier. C'était un samedi soir. Il était assez tard, pas loin de minuit. Julz, comme j'avais l'habitude de l'appeler, et moi, rentrions de soirée. Nous étions un peu éméchés mais on avait encore l'esprit lucide. Nous n'étions plus vraiment très loin de la maison. Il devait nous rester à peine deux kilomètres lorsqu'une bande de garçons pas forcément très fréquentable nous a arrêté. Au début je ne les ai pas vraiment reconnus, l'alcool plus l'obscurité ne m'aidait pas vraiment non plus. Il m'a fallut de bonnes minutes pour que je les reconnaissent enfin. Il s'agissait de Mike, un ex de Julz et de sa bande de toutous. Ils ont commencé à nous chercher des noises, j'ai pas vraiment compris mais apparemment ma sœur leur devait de l'argent et bien évidemment, elle n'avait pas de quoi les rembourser. Ils ont commencés à s'en prendre à elle. Verbalement puis physiquement. Autant vous dire qu'il ne m'a pas fallu deux secondes pour m'interposer. Toucher à ma sœur c'était signer son arrêt de mort. Quelques coups ont été échangés avant que l'un deux ne braque une arme sur moi. Je n'est pas bougé d'un iota, je n'ai pas cligné des yeux, ni même trembler. Si c'était le prix à payer pour que ma sœur soit en sécurité alors, j'étais prêt à me sacrifier. Le type en face, ne m'a pas lâché des yeux mais il était bien hésitant à appuyer sur la gâchette. Mais finalement il l'a fait.. Sauf que je n'ai rien senti.. Pour la simple et bonne raison que ma sœur s'était jetée devant moi et c'est elle qui a tout pris.. Elle est morte, dans mes bras sans que je puisse faire quoi que ce soit pour la sauver.. Son ex et sa bande se sont barrés, plutôt satisfaits d'eux même..
Descente aux enfers.. Et encore, le mot est bien faible je pense. J'étais détruit, anéanti, complètement au fond. En une seule soirée j'avais perdu la personne qui comptait le plus pour moi. Ma sœur était mon tout, une partie de moi. Passer dix sept ans de sa vie avec quelqu'un, partager sa vie, ses secrets, ses colères et ses peines, autant vous dire que quand ça s'arrête c'est juste un enfer.. Je suis tombé dans une profonde dépression. Je restais enfermé chez moi, je ne sortais plus et je ne voulais même plus aller en cours. Mes amis je ne voulais plus les voir non plus. Ma guitare et mes jeux vidéos faisaient office "d'amis". Les disputes avec mes parents ne cessaient d'augmenter tellement j'étais irascible alors qu'ils faisaient de leur mieux pour me réconforter et me sortir du gouffre dans lequel j'étais tombée. Les mois passaient et mon état empirait. Tellement que j'ai voulu mettre fin à mes jours. J'ai presque réussi à le faire d'ailleurs. J'ai bien dis presque mais j'ai loupé mon coup. Dommage ou tant mieux, aujourd'hui encore, je ne sais pas. On peut d'ailleurs encore voir les traces de cette tentative sur mes poignets. Puis la vie à repris doucement son cours et j'ai remonté doucement la pente. J'ai quitté l'irlande et mes parents pour aller étudier en Amerique. J'avais besoin de changer d'air pour essayer de me reconstruire.
J'ai réussi plus ou moins à me reconstruire. Et si j'y suis parvenu, c'est grâce à Alice. Brune, grande, belle, brillante. Je suis tombé sous son charme dés le moment où nos regards se sont croisés. Pour peut être la première fois de ma vie, j'étais tombé amoureux, mais genre vraiment amoureux. C'était le bonheur parfait, on filait vraiment le parfait amour, mais une fois de plus, cette pute de vie s'est acharnée sur moi. Au bout de deux ans, Alice est tombée enceinte. Évidemment c'était un accident parce que je sais à peine prendre soin de moi alors prendre soin d'un petit être tout fragile non merci. On a longuement discuté des différentes options qui s'offraient à nous, parce que mine de rien, avoir un mioche c'est une grosse responsabilité. Après moult et moult réflexions, on a finalement décidé de le garder. Les mois sont passés. Tout se passait bien, on était heureux semble t-il. Moi je l'étais en tout cas, même si l'idée de devenir père me faisait un peu peur. Le temps de l'accouchement est arrivé et on à découvert la plus belle petite fille que le monde est porté. Oui, notez cette objectivité donc je fais preuve. Au début, c'était un peu compliqué de trouver ses marques avec un bébé mais au final, j'ai réussi à m'y faire. On s'en sortait pas trop mal. Jusqu'au jour ou, à peine six mois après la naissance, Alice, sans que je sache vraiment pourquoi m'a quitté. Elle a pris toutes ses affaires et elle est partie. Nous laissant seuls la petite et moi. Il ne m'a pas fallu plus longtemps pour quitter notre appartement et même le pays avec ma fille sous le bras. On s'est retrouvés là où le vent nous as poussé, c'est à dire Londres. Voilà maintenant un an et demi que je suis là et que je me débat tant bien que mal avec mon rôle de père célibataire
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